58e épisode du balado La vie est belle avec Debbie Lynch-White
François Charron prend un verre de bulles avec la très populaire Debbie Lynch-White. Dans cet épisode du balado La vie est belle, on parle de la vitesse à laquelle sa carrière a décollé. De comment les gens l’ont immédiatement aimé même si elle jouait un rôle de méchante. On parle beaucoup de diversité. De la diversité corporelle, de comment on mélange poids et beauté. On jase de coming out et de comment les choses ont bien changé. On est loin du “je m’appelle Paulette, je suis une tapette” de Paolo Noël. Une heure qui passe vite et qui nous permet de tomber encore plus en amour avec elle.
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Extrait de l’épisode avec Debbie Lynch-White
Extrait 1:
François Charron et Debbie Lynch-White parlent du corps des autres. Des jugements véhiculés par les gens envers d’autres personnes plus ou moins proches. Du changement que le monde doit faire et ainsi éviter de critiquer le corps ou le choix vestimentaire des autres.
Extrait 2:
François Charron et Debbie Lynch-White parlent de l’ouverture d’esprit que le monde a heureusement maintenant face aux réalités des membres de la communauté LGBTQ2S+. François ressort de ses archives des chansons qui parlent de tapettes et de woush-woush! Ça ne passerait plus aujourd'hui. On jase de l’acceptation tranquille de la société envers des personnes qui s’affirment, comme par exemple: la colorée Rita Baga et son créateur Jean-François..
Extrait 3:
François Charron et Debbie Lynch-White parlent de la rapidité à laquelle Debbie Lynch-White a goûté au succès en sortant de l’école de théâtre. En effet, deux ans après sa sortie elle obtient le rôle qui va la faire connaître et aimé (ou détesté) par tout le Québec, soit celui de Nancy Prévost dans Unité 9. Un rôle qui aurait pu la marquer au fer rouge.