On dit souvent que le temps des Fêtes rapproche les familles… mais parfois, il teste aussi l’intelligence pratique de certains d’entre nous. Prenons cet homme, par exemple, qui voulait juste rapporter un beau sapin chez lui. Rien de compliqué : un toit d’auto, une corde, un peu de bonne volonté. Ça devrait être simple.
Sauf que non.
On le voit installer son sapin avec une concentration presque militaire. Il tire la corde, il fait plusieurs tours, il resserre, il revérifie… Franchement, le sapin n’était pas attaché, il était sécurisé pour survivre à une tornade. Un travail impeccable.
Tellement impeccable qu’il a… complètement oublié un détail.
Les portes.
Toutes fermées.
Ficelées sous son propre système d’attaches.
Quand vient le moment de repartir, il tire sur la poignée comme si c’était la porte du Père Noël… mais rien ne bouge. C’est là que ça lui frappe : il est littéralement resté dehors de sa propre voiture. Un peu comme si le sapin lui-même avait décidé : “Non, toi tu restes dehors.”
Et la meilleure partie ? Il n’abandonne pas. Pas question de défaire sa belle installation. Il contourne l’auto, ouvre le coffre… et commence à ramper comme si c’était l’entrée secrète d’un tunnel d’espionnage. Bras pliés, genoux coincés, manteau pris sur un appuie-tête… tout y passe.
On le regarde aller et on se dit :
“On a TOUS déjà vécu un moment comme ça. Pas exactement ça… mais une version proche.”
Une situation où on s’applique tellement à bien faire quelque chose qu’on en oublie le détail le plus évident.
Et c’est peut-être ça, la vraie magie du temps des Fêtes : des petits moments ridicules qui nous font rire longtemps après que le sapin soit décoré… ou que la voiture soit enfin accessible par autre chose qu’un coffre arrière.