Cuba et les moustiques: un petit rappel avant de faire vos valises
Il y a des nouvelles qui nous ramènent les deux pieds sur terre, même quand on vient tout juste de commencer à rêver à la plage. Et l’histoire de la dengue, du zika et du chikungunya à Cuba fait exactement ça. Rien pour alarmer tout le monde, mais assez pour qu’on tende l’oreille et qu’on se dise : “OK, je vais peut-être faire un peu plus attention.”
On le sait : Cuba, c’est un classique pour les Québécois. On y va pour décrocher, se reposer, profiter du soleil et oublier l’hiver qui tente toujours de nous mettre à terre. Mais les moustiques, eux, n’oublient jamais de se pointer. Et ces virus-là, ils se transmettent justement par leurs piqûres. Pas de contact humain à humain, pas de panique, mais assez pour gâcher un voyage si on n’est pas vigilants. Fièvre, douleurs, fatigue… disons que ce n’est pas exactement le souvenir qu’on veut ramener dans nos bagages.
Et si on en parle autant cette semaine, c’est aussi parce que LaCubaquoise l’a mentionné sur sa page Facebook. Elle connaît la réalité sur le terrain. Quand elle donne un avertissement, ce n’est jamais pour dramatiser : c’est un simple “gang, soyez juste un peu plus prudents”. Pas d’exagération, pas de crise, juste la vraie affaire. Elle voit ce qui se passe avant tout le monde, elle remarque les hausses de cas, et elle sait exactement comment nos comportements de voyageurs entrent dans l’équation.
Ce qu’elle dit — et ce que les autorités québécoises nous rappellent — c’est tout simple :
Avec un peu de gros bon sens, on peut continuer d’aller à Cuba sans transformer ça en opération militaire. Du chasse-moustiques, un chandail léger le soir, éviter les coins où ils sont plus actifs… bref, les mêmes réflexes qu’on a déjà quand on campe au Québec et qu’on ne veut pas se faire dévorer par un nuage de maringouins.
Pas besoin d’annuler vos vacances, pas besoin d’avoir peur. Juste être allumés. Parce qu’on peut très bien profiter de Cuba, de ses plages et de ses cocktails fluorescents… tout en évitant de ramener dans nos valises un virus tropical qui n’a jamais figuré sur notre liste de souvenirs.
Un voyage, ça reste un voyage.
On y va pour se sentir bien.
Et avec un peu d’attention, on revient chez nous exactement avec ce qu’on voulait : des photos, des anecdotes… et rien d’autre.
Cliquez ici pour en savoir plus sur la crise sanitaire à Cuba